♣ GREEDY CURIOSITY

○ **Messages :** 418 ○ **Date d'inscription :** 30/04/2010

♣ GREEDY CURIOSITY

My Sweet Diary (MSD) a des fans. Cela vous étonne? Pourtant il n’y a vraiment pas de quoi. Désintérêt envers ses propres secrets ou désir de vengeance, certains étudiants prennent un vilain plaisir à voir leurs camarades tomber après que leur journal ait été publié. Les membres du groupe Greedy Curiosity se fichent de savoir qui tire les ficelles. Ce qui les intéresse, ce sont les potins, les rumeurs confirmées, les secrets dévoilés. Et pour cela, peu importe qui est MSD, ils l’adulent, et tiennent absolument à être les premiers à tout savoir. Mais la curiosité est un vilain défaut, et ils devraient faire attention à ne pas vivre par procuration, à travers tous ces scandales qui ne sont pas les leurs. Car à force de trop s’intéresser à la vie des autres, ils risquent d’en oublier de vivre la leur...

Jensen Ackles - Chase Samuel Washington FREE
Sophia Bush - Grace Caroline Faiver TAKEN
Scarlett Johansonn - Aïnhoa Vicky Quetchoua FREE
Chad Michael Murray - Sidji Ryan Harper FREE
Alex Pettyfer - Oakley-Jay Ewen FREE

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« Chase Samuel Washington »

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Feat Jensen Ackles

Histoire

Il est né au Texas, le 2 octobre 1985, dans une grande maison isolée, perdue dans un immense champ, entre prairies verdoyantes et forêts abondantes. Ses parents tenaient un ranch, et Chase a donc grandi parmi les chevaux, ou plutôt avec les chevaux. Il ne savait même pas marcher que déjà il galopait sur le dos d’une belle jument andalouse, chevauchant monts et vallées à toute allure, sans la moindre peur, riant allègrement quand le vent venait ébouriffer ses fins cheveux dorés alors qu’il rebondissait sur la croupe du cheval élancé. A l’école, il n’avait pas énormément d’amis, car il était timide, peut-être un peu introverti, avec un manque de confiance en soit qui l’empêchait d’aller vers les autres. Mais il n’avait pas besoin de l’amitié hypocrite de tous ces gamins qui habitaient les autres villages. Il avait ses chevaux. Il leur consacrait d’ailleurs la plus part de son temps, à les dresser, à les soigner et les promener, et il était heureux, dans cette nature sauvage, arpentant les sentiers épineux et longeant les lacs, s’agrippant aux crins d’un fier étalon enfourché à cru. Bientôt, il commença même à se prendre pour un cow-boy, revêtant le traditionnel chapeau et portant attaché à sa ceinture un lasso qui au fond ne lui servait pas vraiment à grand-chose.
Les études, il s’en fichait. Son rêve, reprendre le ranch de ses parents et vivre de cette passion. C’était sa seule véritable ambition, et il y investissait tout son temps-libre. Et puis un soir, alors qu’il était parti se balader au clair de lune, il avait été interpelé par une vive lueur qui brisait l’obscurité, une lueur rouge comme la rage, dévorante et fougueuse. Un feu. Il y avait un feu, quelque chose qui brûlait, là-bas, dans la plaine, avec une immense colonne de fumée qui s’élevait vers les étoiles d’un pas nonchalant. Son cœur manqua un battement. Au cœur de ce feu déchirant, il n’avait pas besoin de la voir distinctement, il savait que cette forme noire qui criait à l’aide, asphyxiée par les flammes, c’était sa maison, c’étaient ses parent et c’étaient ses chevaux. Il talonna l’animal qu’il montait, le lança au triple galop même s’il savait pertinemment qu’il arriverait trop tard. Cette nuit-là, il galopait comme jamais encore il ne l’avait fait, repoussant les limites de la jument essoufflée, lui-même sans haleine. Mais, quant il arriva, ce n’était plus que cendres et flammes encore déchainées mais déjà mourantes. Les décombres de toute une vie jaillissaient à ses pieds, inertes. Pas un souffle de vie, pas une lueur d’espoir. Il ne restait rien, rien d’autre que cette tâche noire informe, des bribes de souvenirs perdues entre les lambeaux de bois carbonisé.
Il avait alors 18 ans, et deux mois plus tard il entrait à l’université. Ses rêves étaient partis en fumée le jour où tout ce à quoi il tenait avait brûlé. Alors il avait essayé de se relever de ce malheur, rendre ses parents fiers et ne pas sombrer. Il avait donc décidé de reprendre ses études, devenir quelqu’un, comme on dit, et prendre un nouveau départ. Pour ce faire, il dû vendre le dernier cheval qu’il lui restait de dix-huit années de bonheur. Mais, malgré tous les sacrifices, aussi durs soient-ils, malgré la douleur qui ravageait son cœur, il y parvint, un pied après l’autre, continuer à avancer, renfermer la peine et aller de l’avant sans regarder en arrière.

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« Grace Caroline Faiver »

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Feat Sophia Bush

HISTOIRE

Née et élevée dans le Dakota avec ses quatre frères, Grace était ce qu’on pourrait appeler un garçon manqué. Alors que les filles de son âge jouaient aux poupées, elle elle s’amusait avec des petites voitures. Plus tard, au lieu de s’intéresser au maquillage de sa mère, elle porta son attention sur les outils de son père et, suivant l’exemple de ses aînés, se mit à bricoler et à collectionner les tournevis. A l’école, c’était la même histoire ; elle passait ses récrés avec les garçons, à faire la course, à se bagarrer, et les autres filles la regardaient d’un mauvais œil pendant qu’elles inventaient des chorégraphies tout en chantant. Mais Grace se fichait de ce que les autres pensaient. Elle aimait la commodité des pantalons, les jeux sauvages des garçons, et surtout leur mentalité, celle de l’honnêteté.
Jusqu’au collège, elle fut ce garçonnet qui accordait peu d’importance à son apparence et qui aimait assister à des courses de voitures le week-end ou regarder le foot à la télé. Et elle était heureuse, avec son baggie et son T-shirt informe, à s’empiffrer de hamburger en parlant bagnoles. N’allez pas croire qu’à cause de ce mode de vie, elle ne ressemblait plus à rien. Au contraire. Elle était belle. Vraiment belle. Quoi qu’elle porte, ça la mettait d’une façon ou d’une autre en valeur. Ses cheveux décoiffés, son jean large, elle était naturelle, et encore une fois tellement belle. La plupart des filles l’enviaient, et cette jalousie se traduisait par du dédain. Mais elle s’en moquait éperdument. Enfin, pour l’instant..
Quand arriva le temps d’entrer au lycée, ses frères étaient déjà adultes et installés. En revanche, elle, elle dépendait encore de ses parents. Et ceux-ci décidèrent de déménager à l’autre bout du pays suite à une mutation. Nouvelle ville, nouvelle école, et qu’elle le veuille ou non, nouveau départ. Le lycée dans lequel elle fut inscrite appartenait à la haute société. Et là-bas, tout le monde la regardait comme une bête de foire. Même les garçons ne voulaient pas traîner avec elle, car cela nuisait à leur image comme ils disaient, de se colletiner un petit Tarzan qui n’y connaît rien à la bourgeoisie. Pendant plusieurs semaines, elle essaya de faire la sourde oreille, de rester elle-même même si cela supposait ne pas avoir d’amis. Mais les mois passaient, et cette solitude devenait insupportable. Alors, peu à peu, un changement s’opéra en elle ; elle laissa ses camarades choisir sa garde robe, lui apprendre à se maquiller, etc. Et, en à peine quelques jours, la métamorphose s’était opérée. Le vilain petit canard était devenu un cygne majestueux. Malheureusement, dans cette transformation si radicale, elle en oublia qui elle avait été, et devint une réplique conforme à toutes ces filles superficielles qui n’ont pas plus de valeur que les marques qu’elles portent.

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« Aïnhoa Vicky Quetchoua »

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Feat Scarlett Johansonn

HISTOIRE

Quand elle est née le 3 juin 1987, aucun cri ne s’est échappé de ses poumons. Ses lèvres ont remué, mais rien, le silence, un bébé qui gesticule en silence. Les médecins se sont inquiétés. Ils ont pris l’enfant des bras de la mère et l’ont immédiatement emmené en salle d’examen. Les résultats étaient négatifs. La petite Aïnhoa était sourde et muette.
Toute la famille dû apprendre le langage des sourds. La petite fille était évidemment celle qui s’en sortait le mieux, et, curieuse de tout savoir, impatiente de pouvoir s’exprimer, elle redoublait d’efforts pour maîtriser cette étrange langue. C’était un jeu pour elle, et elle s’amusait à remuer ses mains pour faire des phrases muettes. Et, bien que privée de deux des cinq sens, elle développa sa vue, et devint quelqu’une de très observateur à qui aucun détail n’échappe.
Ecartée du système scolaire habituel, elle avait dû faire l’école avec des enfants comme elle, avec ce même handicap qui les empêche de communiquer correctement avec le reste du monde. Mais elle, elle ne voulait pas être cataloguée à cause de cette déficience naturelle. Elle voulait être comme les autres, suivre une éducation normale et se fondre avec les autres, les gens « normaux ». Ses parents mirent tout en œuvre pour l’aider à accomplir ce but. Ils investirent beaucoup d’argent en appareils électroniques et en rééducation. Ainsi, elle apprit à lire sur les lèvres, et reçut pour son anniversaire un petit appareil portable qui lui permettait d’écrire ce qu’elle voulait dire, pour ceux qui ne comprenaient pas le langage des gestes, et qui traduisait aussi en mots ce que les autres disaient, grâce à un micro incorporé. Ainsi, elle put faire sa rentrée au lycée, comme tout le monde. Au début ce ne fut pas facile, évidemment. Certains faisaient des efforts pour communiquer, mais d’autres ne voulaient même pas s’approcher, comme si elle avait une maladie contagieuse. Mais elle s’intégra rapidement, et tous ses efforts portèrent ses fruits puisque, parfois, elle arrivait même à en oublier qu’elle était sourde et muette, et elle se sentait tellement « normale » que même les autres s’adressaient à elle comme si elle était capable d’entendre et de répondre.
L’université fut une nouvelle étape, car il fallait tout recommencer, montrer à tous ses camarades qu’elle n’était pas si différente, et que malgré tout, elle valait autant qu’eux. Mais elle y parvint, encore une fois. Et il y arrivera encore, et toujours, car ce combat est en elle, c’est celui de sa vie, et elle ne laissera rien ni personne la mettre sur le banc de touche.

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« Sidji Ryan Harper »

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Feat Chad Michael Murray

HISTOIRE

Se réveiller un matin, ouvrir les yeux et ne pas savoir où on se trouve, des visages étrangers qui se pressent autour de vous, des pépiements, des soupirs de soulagement, quelqu’un qui vous prend la main et presse vos doigts avec tendresse. Qui était-elle, cette jeune fille qui se tenait à ses côtés, avec ses grands yeux bleus et sa belle chevelure blonde, et ce petit couple âgé, sur les joues duquel couraient des larmes sincères ? Mais surtout, qui était-il, lui ? Il voulu se redresser, mais on l’obligea à rester coucher. Un nouvel arrivant fit son apparition. Il portait une blouse blanche et tenait entre ses bras un calepin marron. Il mit ses lunettes sur son nez aquilin et jeta un bref coup d’œil à son dossier. Puis il releva le menton, regarda le jeune homme allongé.
« Monsieur Harper, ravi que vous soyez enfin réveillé. Cela fait presque deux mois que vous étiez dans le coma, suite à une bagarre de rue. Il est fort probable que vous souffriez d’amnésie. Pouvez-vous me dire comment vous vous appeler ? Quelle est votre date de naissance ? »
Les lèvres du dénommé Harper s’entrouvrir, mais aucun son ne s’en échappa. Dans sa tête, le vide, le vide le plus total, aucun élément de réponse, aucune bribe de souvenir, rien, c’était le noir complet, un abyme profond dont on ne voyait même pas la fin. Ses yeux scrutèrent les personnes qui se trouvaient autour de lui. Ces deux personnes murent devaient être ses parents. Et la jeune fille, si belle, sa sœur ? sa petite amie ? une simple amie ? Il avait beau se forcer, associer un nom à une image, il était comme un nouveau né à qui il faut tout réapprendre depuis le début ou presque.
Le lendemain, il était sorti de l’hôpital et retournait vivre chez ses parents le temps de se refaire une vie. C’était comme un nouveau départ, mais un nouveau départ forcé. Toutefois, quelque chose au fond de lui, l’instinct peut-être, l’incitait à partir, à tout redécouvrir par lui-même, à se façonner un nouveau « moi » à sa manière. Il fit donc ses valises et partit à l’aventure. L’université.
Beaucoup utilisent l’université pour se trouver réellement, achever l’étape de l’adolescence et devenir quelqu’un. Devenir un homme. Eh bien c’est aussi ce qu’il faisait. En quelque sorte…

« Oakley-Jay Ewen »

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Feat; Alex Pettyfer (c) bedshaped

HISTOIRE

Oakley-Jay est né dans un hôpital privé de Palms Springs. Sa mère ne pouvait pas rêver d'une plus belle journée; soleil brillant, nuages absent & douce brise. Les parents d'Oakley-Jay ont une histoire plutôt cocasse. Ils se sont rencontrer par un pur hasard dans un casino de Californie. Non pas qu'ils aient des problèmes dépendance au jeu, au contraire, ils ne faisent que sortir entre amis. En fait c'est ce qu'ils croyaient puisque leur cercle d'amis leur avaient monté un rendez-vous arrangé. Ses parents préféraient en rire qu'en devenir fâché. Ils passèrent toute la soirée ensemble à se connaître davantage puis, ils tombèrent en amour rapidement&construirent une relation stable en un rien de temps. L'arrivée d'Oakley venu resserré les liens qui les unissait. L'argent manquait cependant parfois, mais cela n'empêchait jamais la famille de vivre. Pour leur neuvième anniversaire de rencontre, le père du blondinet amena sa femme au même casino d'autres fois. Il savait bien qu'ils ne pourraient rester bien longtemps avec leur petite gagnotte, mais il voulait qu'elle passe une belle soirée. Ce qui arriva , arriva ; elle gagna à une machine. Le gros lot mes amis. Avec des investissements, ils sont devenus riches en un rien de temps. Mais Oakley là-dedans, refusait de déménager pour une maison richissime et de quitter ses amis de toujours. Il ne manqua de rien durant son enfance, mais sa soif d'indépendance se vit s'assouvie lorsqu'il quitta le foyer familiale à 19 ans. Il refuse tout argent de ses parents, rétorquant qu'il est mature&adulte. Aujourd'hui, il est pompier à la ville et vie une vraie vie de célibataire accomplie.